Protéines animales et informations objectives avec BLEU BLANC CŒUR
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Bleu_blanc_coeur_proteines_animales_vf.pdfContexte
La consommation de protéines animales ne fait que s’effondrer depuis quelques années.
Le “désamour” des protéines animales, notamment de la viande, est porté par tout un faisceau d’arguments d’ordre émotionnel – respect du bien-être animal, voire de la vie animale –, environnemental et nutritionnel plus ou moins objectivés ou idéologiques (végétalisme, véganisme).
Parmi les moteurs de cette déconsommation, subsiste l’argument largement diffusé, disant que l’élevage serait gros consommateur de protéines végétales (céréales, soja…) et qu’il serait devenu un concurrent majeur pour l’alimentation humaine.
objectif
- Informer les consommateurs sur les réels besoins en protéines pour l’homme
- Donner des informations sur les quantités de protéines végétales nécessaires à la production d’1kg de viande
Démarche
Pour établir cette vérité, le conseil scientifique de l’Association BLEU-BLANC-COEUR a produit un travail d’investigation visant à démontrer clairement, sur la base de preuves scientifiques et étayées, la réponse à cette interrogation.
Fort d’une équipe multidisciplinaire regroupant notamment des scientifiques de l’INRA spécialistes des sujets nutritionnels et/ou environnementaux, un recueil de données bibliographiques a été constitué.
Ce dernier valorise les données contemporaines de consommation (enquête CCAF – CREDOC 2016) ainsi que les tables de valeurs nutritionnelles CIQUAL (références nutritionnelles françaises).
Ensuite, les scientifiques ont développé un calcul de ratio d’efficacité d’utilisation protéique des protéines animales (c’est-à-dire la quantité (en kg) de protéines végétales “directement consommables par l’homme” mais ingérées par l’animal pour produire 1 kg de protéines.
Il s’avère que selon le type de produits, en France, ce ratio est en moyenne de 0,74 à 1,28 kg de protéines végétales pour 1 kg de protéines animales. Ces valeurs sont très en deçà des chiffres véhiculés dans le grand public (« au moins 10 kg de protéines végétales pour 1 kg de protéines animales »).
En conclusion, cette étude démontre que l’animal n’est pas en compétition avec l’homme pour l’accès aux ressources protéiques végétales. Au contraire, l’animal valorise les végétaux et sous-produits de végétaux (inconsommables par l’homme) et les transforment en protéines animales digestibles et concentrées en nutriments.
Il est donc indispensable de considérer les liens entre environnement et nutrition de façon scientifique et rationnelle.
Facteur clé du succès
- Données scientifiques fondées et publiées dans la presse scientifique à comité
- Réputation de sérieux et d’impartialité de BLEU BLANC CŒUR
Contribution à la performance de l'entreprise
- Impact des produits BLEU-BLANC-COEUR auprès des consommateurs
Bénéfices pour la filière
- Aliments variés, denses nutritionnellement, respectant l’environnement et satisfaisant l’éventail des gouts et des traditions culinaires
- Confiance du consommateur